La crise ivoirienne a révélé l'usage des réseaux sociaux, principalement de Twitter et de Facebook, à des fins humanitaires. Alors que les usages innovants se multiplient, on peut à juste titre s'interroger sur l'entrée en scène sans cesse différée des institutions éducatives.
Laisser un commentaire :
Connectez-vous pour laisser un commentaire.