Polar Seeds est à la fois un projet de recherche scientifique et une expérimentation de visualisation, gamification et sonorisation des changements climatiques dans les régions polaires, en particulier au Groenland.
À une semaine de la publication du 5ème rapport du GIEC, voici une démonstration qui prouve que les modèles se trompent. En effet, ils ont surestimés la résilience de la banquise arctique. Elle fond encore plus rapidement que prévu...
Très rapide et beaucoup plus tôt que prévu il y a quelques années. C’est ce qu’on peut constater à propos de la quasi ouverture du passage du Nord-Ouest durant tout l’été 2012.
James Balog, un photographe travaillant pour National Geographic a été envoyé en Arctique en 2005 afin de photographier et filmer les changements subits par l’Arctique en relation avec le réchauffement climatique. Balog était sceptique mais ce qu’il a vu là-bas l'a surpris...
La banquise arctique est sur le point de disparaître complètement. Pas d'ici 50 ans, mais plutôt d'ici 5 ans, quasiment dans l'indifférence générale. Owni fait le tour de la question avec plein de data dedans.
Selon Alexandre Guertin-Pasquier du Département de géographie de l'Université de Montréal, les changements climatiques laissent envisager le retour possible d'une forêt ancienne récemment découverte dans le Grand Nord canadien.
À contre-courant de la fonte des glaces. Apherusa glacialis fait partie de cette faune arctique qui profite des courants marins pour remonter vers le pôle Nord et échapper à la fonte de la banquise.
Ça s’annonce décidément mal dans l’Arctique: le recul des glaciers et la fonte du permafrost auraient créé des fuites de méthane en plus de 150 000 endroits.
Un trou d'une taille équivalente à cinq fois la surface de l'Allemagne s'est ouvert dans la couche d'ozone au-dessus de l'Arctique, égalant pour la première fois la diminution observée dans l'Antarctique.