Le samedi 6 novembre 2010, la vérité va enfin être rétablie. Ce jour-là, à South Bend, ville américaine située dans le nord de l’Indiana, aura lieu un colloque dont le titre est : “Galilée avait tort. L’Eglise avait raison.”
Jésuite, scientifique et explorateur, Pierre Teilhard de Chardin est considéré comme un des grands paléontologues du xxe siècle. Auteur d'une surprenante théorie de l’évolution, il ne publia rien de son vivant, pour obéir aux ordres de son Église qui, à l’époque, était dérangée par ses thèses.
Le problème provient d'un paradoxe : d'un côté l'église catholique défend toujours l'inerrance biblique, mais de l'autre les positions officielles actuelles du Vatican sont que la théorie de l'évolution est "plus qu'une hypothèse".
Alors que l'on célèbre cette année le bicentenaire de la naissance de Charles Darwin, les opposants à sa théorie de l'évolution se font de plus en plus offensifs dans les écoles de la République pour imposer leur croyance. Enquête.
Dans son livre, le chercheur belge Jacques Balthazart soutient la thèse d'une homosexualité héritée à la naissance et ravive les oppositions avec la psychanalyse et l'Église. Le débat de l'inné et de l'acquis est relancé. Quels en sont les enjeux ?
Durant quatre jours, le Vatican accueille des représentants de Facebook, de YouTube, de Wikipédia et même un hacker suisse qui vont initier les évêques à la culture d'Internet.