Expérimenté à l'échelle du Royaume-Uni ou de Montréal, on peut désormais cyber-visiter une ville avec ses oreilles. Une expérience plus sensuelle qu'avec de simples images.
Au Royaume-Uni, la diffusion de la culture scientifique est inscrite à l’agenda du gouvernement depuis plus de 25 ans. Elle a été formalisée en 1985 sous le concept de Public Understanding of Science (compréhension de la science par le public) à la suite d’une publication de la Royal Society.
L’Ambassade de France au Royaume-Uni a publié un dossier proposant une grille d’analyse pour mieux comprendre le rôle des acteurs de la communication, en particulier le rôle des médias et à des journalistes scientifiques à l’heure d’Internet et au travers d’exemples de controverses scientifiques.
Partez à la découverte du Museum of London grâce à un jeu de piste guidé par SMS ! Simple, ludique et familial ce dispositif propose de résoudre des énigmes sur le musée en répondant par SMS. Le Smartphone, terminal idéal du musée ?
La Royal Society met ses archives historiques en open access. On peut notamment y voir des textes d'Isaac Newton, de Benjamin Franklin, de Charles Darwin ...
Injecter des particules dans l’atmosphère pour réfléchir les rayons du soleil, inonder les océans de nanoparticules, recouvrir les déserts de plastique... Les « géo-ingénieurs » s’en donnent à cœur joie dans leur rêve prométhéen de maîtriser la nature.
La censure des médias sociaux, prônée par David Cameron, empêcherait-elle les émeutes? Une étude sociologique d'Antonio Casilli et Paola Tubaro montre que cela ne ferait qu'augmenter le niveau général de violence, bien que réduisant l'acmé des crises.
Pour renouveler la façon d'enseigner les sciences, il existe plusieurs initiatives comme La main à la pâte. De son côté, le Royaume-Uni a lancé le National Science Learning Centre. Sir John Holman, son ancien directeur, nous le présente.
Les Britanniques usent volontiers des caméras de surveillance pour lutter contre la criminalité. Ils n'étaient pourtant pas allés jusqu'aux poubelles. C'est désormais chose faite grâce aux chercheurs de l'université de Newcastle.
Le Royaume-Uni travaille à développer ses compétences militaires en matière de cyberattaque, non seulement de manière défensive, mais aussi de manière offensive.