Cigéo est le projet français de centre de stockage profond de déchets radioactifs. Il est conçu pour stocker les déchets hautement radioactifs et à durée de vie longue produits par l’ensemble des installations nucléaires actuelles et par le traitement des combustibles usés.
Suite à la publication d'un rapport de l'INSERM mettant en évidence un taux de leucémie infantile anormalement élevé autour des centrales nucléaires françaises, le Journal de la Science a interviewé Jacqueline Clavel, qui a dirigé cette étude.
Interventions en milieu hostile, techniques complexes, pollutions radioactives, déchets encombrants, personnels irradiés, coûts exorbitants… Les premiers chantiers de déconstruction menés actuellement par EDF sont loin d’être maîtrisés.
" Le débat sur l'énergie nucléaire est un champ de bouses de trolls que mes nerfs ont la plus grande difficulté à supporter : dès qu'il montre sa tête hideuse, j'ai tendance à éteindre le poste pour ménager mon cœur des palpitations provoquées par l'affichage ostentatoire de la connerie."
La fermeture des centrales nucléaires allemandes pourrait à terme se traduire par une hausse des prix des permis carbone qui conduira les producteurs d'électricité à privilégier les centrales au gaz. Et donc à une réduction globale des émissions de CO2...
Premier épisode d’un reportage dans l’usine de retraitement nucléaire d’Areva, dans la Manche. Après l’accident de Fukushima, l’acteur de l’atome français veut rassurer. Précision importante, ce reportage réalisé en exclusivité pour Effets de Terre a été financé par les dons de ses lecteurs.
De nombreux pays, notamment la Chine, ont annoncé la construction de nouvelles centrales nucléaires, qui risquent d'être construites sur des zones sismiques à risque important, comme à Fukushima.
Récit percutant au pays des réacteurs nucléaires dans lequel un jeune technicien de maintenance raconte un quotidien ordinaire sur lequel plane en permanence la hantise de l'accident...
Les deux-tiers des 211 centrales nucléaires de la planète côtoient plus d’habitants dans un rayon de 30 kilomètres que les 172 000 personnes qui vivaient à une distance inférieure de la centrale de Fukushima, dont une grande part a dû évacuer.