Dans le jeu de l'amour, qui prend le pas sur l'autre ? L’attirance sexuelle dans ce qu'elle a de plus naturel et bestial, largement influencée par l'odeur, ou bien l'ensemble des comportements développés autour de la relation amoureuse ?
Une nouvelle recherche, publiée dans le Journal of Sex & Marital Therapy [1], démontre ce que de nombreuses personnes savaient déjà, à savoir que l’intérêt des femmes pour le sexe diminue avec le temps, contrairement aux hommes.
Sortie ce mercredi de "L'amour dure trois ans", adaptation cinématographique du livre de Frédéric Beigbeder par lui-même. La passion amoureuse finit-elle inexorablement par s'émousser ? Voilà ce qu'en pense la science...
Elizabeth Rossé est psychologue à l’Hôpital Mamottan, un hôpital dédié aux personnes toxicomanes, qui accueille depuis quelques années des personnes qui souffrent "d’addiction sans drogue" et notamment les joueurs de jeux vidéo.
D'après des psychologues de l'Université de Saint Andrews en Écosse, le désir d'enfant d'une femme se reconnaîtrait à certaines caractéristiques de son visage, elles-mêmes liées à ses caractéristiques hormonales.
Au 19e siècle, sous prétexte qu'une femme sur quatre souffre d'hystérie, les médecins pratiquent le "massage de la vulve"... Le plus connu d’entre eux (Mortimer Granville, inventeur du vibromasseur) est le héros d'un film au titre révélateur : "Oh my god!" (Hysteria).
Les attitudes portant sur les préjugés reposent sur des suppositions généralisées à propos de certains groupes sociaux, et pourraient bien être un trait de personnalité.
INTERVIEW - Élisabeth d'Ardaillon-Lalevée, psychologue clinicienne et psychanalyste, est l'auteur, avec Lucien Chaby, de La Ménopause, le temps retrouvé (Ellipses).
Les services de géolocalisation ont le vent en poupe. Ils sont le dernier développement des noces de l’Internet avec la téléphonie mobile et jouent sur des leviers psychologiques simples. Il s’agit encore et encore de désir..