Levée de boucliers des spécialistes devant le fait que la tristesse consécutive au décès d'un proche puisse être assimilée à une dépression.
Les familles concernées souffrent du manque criant de structures de prise en charge. «Nous sommes les parias des parias», résument les parents d'enfants autistes pour tenter de faire comprendre leur sentiment d'abandon.
Etes-vous sûr de vouloir continuer ?