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Des documents révélés par Wikileaks montrent que le gouvernement Bush surveillait de près les débats sur les OGM en France.

Treize ans de suivi aux États-Unis le montrent : le maïs transgénique profite davantage aux agriculteurs qui n’en plantent pas, qu’à ceux qui en plantent.

Aujourd'hui, la revue Science publie un article qui risque de ne pas faire plaisir aux opposants à l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture.

Les insecticides produits par le maïs OGM se retrouvent dans l’eau des rivières, montre une étude réalisée aux États-Unis.

L'Afrique du Sud produit trop de maïs. Ses voisins pas assez. Ses surplus risquent pourtant de partir nourrir des poulets en Chine, où les autorités sont nettement moins hostiles aux produits transgéniques.

L'inscription de 38 variétés d'OGM au catalogue officiel des semences ouvre la porte à une culture de ces organismes génétiquement modifiés sur le territoire français, selon Greenpeace qui accuse le gouvernement d'avoir cédé à la pression de l'industrie agrochimique.

Face à l'incapacité des 27 à s'entendre, la Commission a dû trancher. Six maïs génétiquement modifiés seront autorisés à la commercialisation dans l'Union. Une décision controversée dans un dossier très épineux.

Les organismes génétiquement modifiés (OGM) permettent-ils de réduire la consommation de pesticides ? L'argument, contesté par les écologistes, est mis en avant par les entreprises de semences transgéniques.

Le Canada et les États-Unis ont simultanément donné le feu vert, la semaine dernière, à l'arrivée dans les champs d'un maïs transgénique nouveau genre. Plusieurs groupes opposés aux OGM croient que, cette fois, le gouvernement a franchement tourné les coins ronds.

Les experts en OGM de l'Autorité européenne de la sécurité alimentaire (EFSA) ont conclu que le maïs 810 est sans risques pour la santé humaine et animale et ne constitue pas une menace pour l'environnement, si des mesures appropriées sont prises pour éviter une contamination des lépidoptères.