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Le nombre de femmes qui s'orientent vers les études scientifiques et techniques connaît "un début de reprise" après des années de déclin, mais les choix d'orientation sont marqués par la persistance des stéréotypes, selon une étude publiée mercredi.

Nous avons toutes et tous déjà entendu dans notre entourage ces préjugés au sujet la mixité, la parité, l’égalité professionnelle… ceux-là même contre lesquels Femmes Ingénieurs dirige son action de sensibilisation et d’information.

L'Association Pour la Parité dans les Métiers Scientifiques et Techniques (APMST), en partenariat avec Grenoble INP, l'UJF et l'association Femmes & Sciences, à l'occasion de son 10ième anniversaire,organise un colloque intitulé : "Les carrières des femmes en sciences : vers l'équité"

L'auteure est intervenue aux journées d'études organisées par le Climope en juin 2009 sur le thème : « Filles-garçons, où en sommes-nous ? ». Elle fait le point sur les stéréotypes persistants sur les filles et les sciences ou les mathématiques, que l’école contribue à entretenir.

Poser la question de la place des femmes dans les sciences, c’est aussi poser la question de l’égalité des sexes. Ce dossier propose des articles et ressources pour aborder la notion de stéréotypes et encourager les filles à se lancer dans les sciences et techniques.

La vérité sur le numérique : brisons les stéréotypes et idées reçues !

Lamarck et son finalisme évolutif a bel et bien été supplanté en France par la théorie Darwinienne. Mais on ne renonce pas si facilement à ses vieux démons et c'est drapé d'un cache-sexe darwinien que le finalisme est demeuré prégnant dans beaucoup d'esprits dès qu'on parle d'évolution.

Malgré le prix Poincaré attribué à deux mathématiciennes cet été, les femmes ont du mal à se faire une place dans le monde des mathématiques fondamentales. La parité est lente à se mettre en place et le déséquilibre hommes-femmes s'aggraverait même.

Document établit en 2008 par des enseignants de l'académie de Toulouse, à portée nationale et toujours d'actualité.

La passion des sciences et technologies se porte mal en France : notre pays est le seul en Europe à avoir vu le nombre de diplômées en sciences baisser ces dernières années. Pourquoi ? Les recherches de la spécialiste Isabelle Collet désignent clairement le coupable : les stéréotypes.