Une étude scientifique publiée lundi dans le Journal de l'Association médicale canadienne (CMAJ), soutient que l'héroïne pharmaceutique serait plus efficace et moins coûteuse que la méthadone pour le traitement des toxicomanes.
Si lorsqu’on vous dit «?addict?», vous pensez à un adolescent accro au cannabis, votre représentation des formes contemporaines de l’addiction est, si ce n’est erronée, du moins très partielle.
Tant de techniques ont été utilisées pour aborder la prévention de la toxicomanie chez les jeunes: que ce soit certains des sites d'information, des jeux sérieux (serious games) ou même des interventions en milieu scolaire.
Les programmes de distribution et d’échange de seringues aux toxicomanes protègent l’ensemble de la société du sida. Une étude du Fonds national de la recherche scientifique (FNS) basée sur des méthodes moléculaires dernier cri l’a mis en évidence.
Avec Didier Jayle, professeur d'addictologie au Conservatoire national des arts et métiers et Jean-Pierre Couteron, président de l’Association nationale des intervenants en toxicomanie et addictologie.
Une consommation à la baisse : celle du cannabis, notamment chez les jeunes. Une autre en légère progression : celle de l'héroïne, la drogue qui fait le plus de morts dans les pays occidentaux.
La Ritaline est un médicament prescrit à des millions d'écoliers aux États-Unis pour soigner le trouble de "déficit de l'attention". Il est détourné par 7 millions d'Américains qui l'utilisent pour se doper. Ce long article revient sur l'origine de ce médicament et donne la parole à deux pédiatres.
AIDES, Act Up-Paris, l’AFR et Sidaction dénoncent l’absence d’un représentant de la Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et les Toxicomanies (MILDT) à la rencontre sur l’échange de seringues en prison, organisée le 25 juin par Sidaction.