Dix-huit ans après le Sommet de Rio, l’enthousiasme n’y est plus. La conférence de Copenhague sur les changements climatiques a été qualifiée d’échec, celle de Nagoya sur la biodiversité n’est arrivée à une entente qu’à la dernière minute, et sur un seul enjeu. Doit-on repenser la formule ?