Ça s’annonce décidément mal dans l’Arctique: le recul des glaciers et la fonte du permafrost auraient créé des fuites de méthane en plus de 150 000 endroits.
Planter tout de suite des espèces plus résistantes, protéger le sol... : des solutions sont déjà proposées aux forestiers pour atténuer les effets du changement climatique. Elles découlent d’une étude récente menée en collaboration avec l’Université de Paris Sud Orsay.
Selon une équipe australienne, l’intensification du cycle de l’eau due au changement climatique est sous-estimée par les modèles. Au cours des 50 dernières années, les régions les plus humides ont ainsi subi de plus en plus de précipitations tandis que les plus sèches sont devenues plus arides.
Dans un essai décapant, le chercheur Bertrand Guillaume et le journaliste Valéry Laramée de Tannenberg dénoncent la tentation de chercheurs et d’entreprises de vouloir artificiellement refroidir le climat.
Revue de presse : Les gens qui souffrent de chaleur dans une pièce surchauffée sont plus enclins à affirmer que le réchauffement climatique est un réel problème.
Si la Terre se réchauffe, il devrait en théorie y avoir davantage d’évaporation au-dessus des océans, entraînant du coup davantage de pluie. Ce n’est plus une théorie: 4% de plus en 50 ans.