Déclaré Grande Cause nationale 2012, l’autisme reste encore méconnu, en particulier ses origines. Très récemment, un gène associé à l’autisme chez l’homme avait été identifié : SHANK2.
Comment expliquer l'autisme ? L'hypothèse la plus crédible aux yeux de la communauté scientifique internationale pointe diverses anomalies dans la structure et le fonctionnement du cerveau des personnes autistes.
Un traitement expérimental a permis de réduire deux des trois grands troubles de l’autisme chez des souris de laboratoire. C’est ce que révèle une étude américaine publiée mercredi. Il pourrait s’agir d’expérimentations pertinentes dans la recherche contre l’autisme !
Le nombre de cas de troubles du spectre autistique (aussi appelés troubles envahissant du développement) chez les enfants a augmenté de 23% aux États-Unis entre 2006 et 2008, passant de un enfant sur 110 à un sur 88...
Même si la psychanalyse échappe à une relégation totale, elle ne fait pas partie des interventions recommandées par la Haute autorité de santé pour la prise en charge des enfants autistes.
Cette étude américaine basée sur les récentes preuves que l'autisme implique souvent une prolifération précoce du cerveau, en particulier dans le cortex préfrontal (PFC) est allée plus loin dans la connaissance de la maladie.
L’autisme, ce trouble du développement qui entraîne des déficits dans le comportement social et la communication, touche quatre fois plus de garçons que de filles.
L’eye-tracking révèle une mesure possible de la réussite des stratégies d'adaptation sociale pour les enfants atteints de troubles du spectre autistique, nous explique cette étude publiée dans l'édition de mars du Journal de l'American Academy of pédopsychiatrie.