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Plus de 700 études scientifiques dans le monde ont été consacrées à l'homoparentalité depuis les années 1970, dont une partie au développement des enfants. Que concluent ces travaux ? Mediapart s'y est plongé (lire notre Boîte noire). Deuxième volet de notre série.

Si quelque chose peut nous inquiéter, c'est qu'une perception du Japon comme un pays qui n'est pas sûr lui inflige une série de pénalités économiques et psychologiques.

«Après les médicaments toxiques et sans rendu médical effectif, combien de morts et de malades seront dus à la chimie agricole?», s'interroge Jacques Maret, auteur du Naufrage paysan. Il a déposé une demande de retrait de plusieurs Round Up en tant que simple «particulier ayant intérêt à agir.

Dans sa derniére livraison, "Cogitamus, six letttres sur les humanités scientifiques", Bruno Latour nous livre une de ses tentatives successives de "vulgarisation" de sa pensée (comme dans "la science en action", "petites leçons de sociologie des sciences", etc).

La querelle sur l'origine entropique ou non du déréglement climatique allait initier une "guerre scientifique" qui partage avec celle initiée par Sokal et Bricmont bien des points communs sauf une différence essentielle : la guerre du climat clive les sciences dures elles mêmes.

Ces Bogdanov m'amusent… Si si, bien plus qu'ils ne me font peur ou qu'ils ne m'énervent. Car enfin, ils révèlent plein de choses sur notre pauvre société.

Les applaudissements n’ont pas manqués à la parution des trois rapports anglais sur ce que l’on appelle le Climategate, semblant indiquer d’étranges manipulations de données visant à défendre la thèse officielle du dérèglement climatique d’origine humaine.

Le héros du jour est le solenodon (ou solénodonte), un petit mammifère dont il y a de fortes chances que vous n'ayez jamais entendu parler.

Depuis quelques années, et encore tout récemment au 30ème salon du livre de Paris, l’un des thèmes qui revient avec le plus insistance sur le devant de la scène concerne ce qu’il est convenu d’appeler la « crise » de l’édition en sciences humaines et en philosophie.

L’ouvrage de Michel Onfray est loin d’être inintéressant. On peut s’indigner d’un ton travaillé par l’ironie, le sarcasme, le mépris, un ton souvent accusateur qui n’entend faire aucune concession aux prétentions freudiennes. Serait-ce un ouvrage inspiré par la haine ?