L’agriculture biologique utilise des pesticides, pour les mêmes raisons que les agriculteurs conventionnels : protéger les cultures contre les parasites et les ravageurs.
Gérard Venereau, à l’origine d’études sur le suivi des ruchers, estime que l’interdiction des néonicotinoïdes ne résoudra pas tous les malheurs des abeilles.
Pathogènes et insecticides : telle serait la recette d’un cocktail mortel pour les abeilles. Ainsi, l’infection par le parasite Nosema ceranae entraîne une plus forte mortalité des abeilles lorsque celles-ci sont exposées à de faibles doses d’insecticides.