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Dans l'un des emails piratés, le climatologue Phil Jones, de l'Unité de recherche climatique (CRU) de l'université britannique East Anglia, insulte le géophysicien français.

Dans l'un des emails piratés, le climatologue Phil Jones, de l'Unité de recherche climatique (CRU) de l'université britannique East Anglia, insulte le géophysicien français.

Parmi les 5 000 emails piratés, une trentaine cite le nom du géophysicien français.

Climategate, épisode final ? Vous vous souvenez de cette accusation lancée par les climatosceptiques contre Phil Jones - le climatologue du Hadley Centre qui produit un indice d'évolution de la température moyenne ?

How climate science became the target of "the best-funded, best-organized smear campaign by the wealthiest industry that the Earth has ever known."

Avec les documents qui ont fuité, les climato-sceptiques tentent de semer le doute à Copenhague. Regardons les pièces à conviction...

Des scientifiques étaient accusés d'avoir inventé la hausse des températures... C'était faux.

Les applaudissements n’ont pas manqués à la parution des trois rapports anglais sur ce que l’on appelle le Climategate, semblant indiquer d’étranges manipulations de données visant à défendre la thèse officielle du dérèglement climatique d’origine humaine.

With inquiries into the affair now complete, Phil Jones reflects on his bruising experiences at the centre of the storm.

Les enquêtes indépendantes menées sur les chercheurs du GIEC ne formulent que des critiques à la marge.