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Que peuvent apporter les nouvelles techniques utilisables en biologie industrielle, un secteur à la fois en expansion et en évolution ?

Les métaux sont à la base de notre civilisation industrielle. Leur raréfaction est un des défis majeurs du XXIème siècle. Notre modèle actuel de développement, qui repose sur la croissance économique et un accroissement continu du prélèvement des ressources, se heurte à la finitude de la planète.

Le Prix de la croissance verte numérique du Ministère de l’Ecologie valorise les initiatives et bonnes pratiques combinant numérique et développement durable. Candidatures ouvertes jusqu'au 14 octobre 2011 et remise des prix le 23 novembre 2011 à Paris.

Pour Benoit Urgelli et Lionel Scotto d'Appollonia, le problème crucial est que la doxa intellectuelle considère la médiatisation de la controverse sur le réchauffement climatique comme un péril pour l'humanité.

En cette période festive et faste, alors que les gadgets dernier cri se vendent comme des petits pains, le sujet des terres rares revient sur la table. Mercredi dernier, Le Canard Enchaîné consacrait un article très intéressant à ces minerais, produits à 97 % par la Chine.

L'université de rentrée du WWF a réuni les acteurs concernés par la biodiversité, parmi lesquels les entreprises. Alors qu'un sondage IFOP montre que les Français jugent leur impact négatif, l'ONG cherche à les impliquer plutôt qu'à les stigmatiser.

La version définitive du rapport "Filières industrielles stratégiques de l’économie verte" a été rendue publique par le gouvernement.

Pour les Suédois, il est urgent d’agir, pour le pays et pour la planète, au cœur des sites les plus pollueurs : les villes. C'est ce qu'ils ont souligné lors du colloque Symbiocity, en citant en exemple Stockholm, élue Capitale verte de l'Europe pour 2010.

Le développement durable consiste à maintenir un développement économique tout en respectant un équilibre environnemental et social. Mais la notion est de plus en plus contestée : terme flou, voire contradictoire, il serait utilisé par les pollueurs pour se donner une image verte.

La somme est colossale : soixante milliards d'euros. C'est ce que va investir la Corée du Sud dans la croissance verte au cours des cinq prochaines années, soit 2 % de son produit intérieur brut par an. Un effort sans égal au sein de l'OCDE.