Comme vous l’avez remarqué je porte un vrai intérêt à la place de l’animal et notamment du chien auprès des malades et handicapés. Récemment j’ai lu un article sur la place de l’animal dans la recherche et comment les tests sur les animaux peuvent faire...
L’expérimentation animale se fait depuis que les humains cherchent à comprendre le monde vivant et a toujours prêté le flanc à critiques : si elles prennent aujourd’hui une tournure passionnelle et politique, elles ont également permis un traitement plus respectueux de l’animal de laboratoire.
Aujourd'hui, des personnalités de toutes horizons pensent que le postulat sur lequel se fonde la législation réglementant l'expérimentation animale n'a aucune valeur scientifique.
Les expérimentations sur les animaux vont être très strictement encadrées et limitées en Europe après le vote mercredi par le Parlement européen d'un texte sur la protection animale qui a suscité des débats passionnés durant deux ans.
Les réponses à ces questions sont un résumé fidèle de l’avis scientifique formulé en 2009 par le Comité scientifique des risques sanitaires et environnementaux (CSRSE) : 'The need for non-human primates in biomedical research, production and testing of products and devices'
Le nombre de souris génétiquement modifiées utilisées pour la recherche médicale a littéralement explosé au cours des dix dernières années dans le pays, signe de leur importance pour les chercheurs. Cette évolution ne va pas sans susciter une vive polémique.
De nombreuses personnes se battent contre l'expérimentation animale, mais cet objectif semble utopique, alors qu'aujourd'hui, 12,1 millions d'animaux sont utilisés à des fins scientifiques en Europe (dont 77,5 % de rongeurs).
La réserve de Gänserndorf accueille des chimpanzés rescapés d’un laboratoire d’expérimentation pharmaceutique. Les animaux y coulent désormais une retraite inespérée.
Pour protéger les Européens contre les effets des produits chimiques, faudra-t-il sacrifier 54 millions d’animaux de laboratoire au cours de la prochaine décennie, et non 2,5 millions, comme estimé à l’origine par les promoteurs du règlement Reach ?