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La grande diversité végétale de la forêt amazonienne pourra-t-elle survivre à une forte hausse des températures ? Pour le savoir, Christopher Dick et ses collègues ont décidé de se tourner vers le passé...

Triste retournement de situation. Alors que l’on tenait le ralentissement de la déforestation de l’Amazonie comme l’une des principales victoires environnementales de l’ancien président Lula, le phénomène semble s’accélérer de nouveau depuis plusieurs semaines…

La forêt amazonienne est sûrement l'écosystème le plus riche de notre planète. Dans une étude récente, une équipe de scientifiques a mis en lumière l'histoire de cette région, expliquant qu'un lent soulèvement de la Cordillère des Andes était responsable de l'étonnante diversité de la région.

C’est un jeu vidéo à l’intitulé lyrique qui ravira les amateurs des Sim’s et autres simulations sociales. Du pain béni aussi pour les éco-citoyens un peu geeks sur les bords et tous ceux, nombreux, qui ont raté leur vocation de maître du monde ou, plus modestement, de grand dirigeant.

L’apparition de la Cordillère des Andes est à l’origine de l’extraordinaire biodiversité de l’Amazonie.

En phase avec la population, le président Lula s’est moins soucié d’environnement que de développement.

Il est isolé au coeur de la forêt amazonienne depuis des années. Pour combien de temps encore?

Dans un rapport, l'ONU redoute que l'appauvrissement de la biodiversité ne devienne irréversible. Pour empêcher ce désastre écologique, l'un des auteurs du texte explique au figaro.fr quels zones géographiques et processus clés doivent faire l'objet d'une attention particulière.

De prime abord, on pourrait se dire que ça ne sert à rien de savoir ce que chie un singe en pleine forêt péruvienne. Sauf que le sort de la flore amazonienne passe en partie par ces précieuses crottes.

Quelque 80% des terres déboisées en Amazonie sont destinées à l'élevage de bovins et le plus grand défi des autorités brésiliennes est aujourd'hui d'empêcher que de la viande ou du cuir en provenance de zones détruites illégalement n'arrivent au consommateur.