Une étude menée sur le lac de Wohlen révèle que les lacs de barrage produisent d'importantes quantités de méthane, un puissant gaz à effet de serre. D'après cette étude, le phénomène serait lié à la température de l'eau.
Dans un rapport, l'ONU redoute que l'appauvrissement de la biodiversité ne devienne irréversible. Pour empêcher ce désastre écologique, l'un des auteurs du texte explique au figaro.fr quels zones géographiques et processus clés doivent faire l'objet d'une attention particulière.
Les lacs sous-glaciaires de l'Antarctique ne sont pas immobiles. Ils peuvent se connecter et donner lieu à des transferts rapides d'eau entre lacs. Et, ainsi, favoriser une instabilité de certaines parties de la calotte glaciaire, précipitant la marche des glaciers vers l'océan.