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L'Université de Lyon crée 2 modules de formation science-société pour les doctorants.

Un sujet scientifique qui pose question à la société, un espace convivial, deux à quatre intervenants spécialistes mais d'approches différentes, un modérateur qui présente le sujet et gère les questions du public : voici le cadre de nos cafés-débats «Sciences et Citoyens».

Vendredi dernier, l'association Paris Montagne organisait la soirée de lancement du "QSEC" parisien sur le thème de l'alimentation. Au menu : cinq interventions, des courts-métrages... et un buffet alimentaire. Récit.

Cette table ronde permet de réfléchir aux multiples manières dont la science-fiction se sert des sciences humaines pour élaborer ses récits, notamment pour ses mondes utopiques et uchroniques, ainsi qu’aux usages que peuvent faire ces sciences de la science-fiction.

Au vu des enjeux philosophiques et sociaux de la science, la science-fiction occupe une place souvent négligée parmi les médiatisations et les productions culturelles autour de la science (muséologie, vulgarisation, enseignement...).

La notion de culture scientifique recouvre plusieurs aspects souvent étroitement liés les uns aux autres, parfois dissociés cependant. Il est en tout cas intéressant d'essayer de les identifier et de les formuler.

Depuis plus de 10 ans, Philippe Boulitio travaille sur les processus participatifs autour des sciences et technologies. Fondateur de l’association Sciences et Démocratie, il a été très actif sur le web pendant le grand débat national sur les nanotechnologies en France.

Dans le cadre des « mercredis de la coredem », le réseau associatif RITIMO organisait mercredi une rencontre-débat sur le rôle de la société civile dans la gouvernance de l’innovation et des nouvelles technologies.

Dominique Pestre, historien et sociologue à l’EHESS, nous explique comment notre rapport aux sciences a changé depuis 30 ans et comment les sciences humaines et sociales (SHS) peuvent nous éclairer face aux grandes questions scientifiques en débat aujourd’hui.

Nous débattons de la destruction des OGM de Colmar : mauvaise communication de l'INRA, problème de disponibilité des chercheurs pour la vulgarisation, combat politique plus que risque scientifiquement étayé... Nous attendons vos avis !