L'augmentation de température en Antarctique durant la dernière déglaciation se serait produite en même temps que celle de la concentration en CO2. Cette découverte a été effectuée par des chercheurs français du CNRS, du CEA, des universités de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et Joseph Fourier.
Grâce à son savoir-faire en matière de champs magnétiques intenses, le CNRS grenoblois, avec le CEA, le Centre national d’études spatiales (CNES) et l’Université Joseph-Fourier, ont mis au point une expérience permettant de reproduire les conditions de la “gravité zéro” grâce aux champs magnétiques.