Pris(m)e de tête appréhende les relations entre science, culture et société au prisme des sciences de l'homme et de la société. Ses articles sont édités par des jeunes journalistes et/ou des jeunes chercheurs.
Tout commence le 25 février 2010 au Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris. Je fais alors partie des quatre jeunes journalistes scientifiques qui, par l’intermédiaire de Nicolas Loubet, partent à la rencontre de Marine Soichot et de Pris(m)e de Tête.
Une fois que les politiques se sont emparés du problème, restait à le transmettre au niveau suivant : celui des citoyens. Or, qui mieux que les (mass) médias pour les toucher ?
Les modalités de la publicisation de la question climatique dépendent étroitement des scientifiques qui travaillent sur le climat. Inévitablement, c’est la question de l’expertise qui se pose. Qui est expert du climat et qui ne l’est pas ?
Depuis quand parle-t-on du changement climatique ? C’est l’une des questions que pose Jean-Baptiste Comby dans sa thèse pour comprendre comment le changement climatique est devenu un problème public. Rapide historique.