Pris(m)e de tête appréhende les relations entre science, culture et société au prisme des sciences de l'homme et de la société. Ses articles sont édités par des jeunes journalistes et/ou des jeunes chercheurs.
Outre la publication de son livre, la conférence de Copenhague – précédée du climategate – donne l’opportunité à Vincent Courtillot de rebondir médiatiquement. Plus encore, elle popularise toute une génération de néo-climatosceptiques français.
« L’affaire Courtillot » commence fin 2006. Depuis, elle n’a de cesse de revenir dans la bouche des uns et des autres comme si elle ne s’était jamais terminée. Une « querelle » entre scientifiques comme il en existe souvent... Sauf que pour le climat, tout devient très vite hors norme.
Pour beaucoup, Vincent Courtillot et Claude Allègre forment le duo « Good Cop-Bad Cop » du climatoscepticisme français. Pour autant, le premier reste avant tout un chercheur motivé par la dimension scientifique du débat. Petit portrait.