Pris(m)e de tête appréhende les relations entre science, culture et société au prisme des sciences de l'homme et de la société. Ses articles sont édités par des jeunes journalistes et/ou des jeunes chercheurs.
Jay Gulledge regrette que le GIEC ait tant contribué à montrer depuis deux décennies que le climat est en train de changer à cause de l'action de l'homme, tout en laissant les décideurs dépourvus d'outils pratiques pour faire face à l'immense question de politiques publiques qui s'ensuit.
Marine Soichot et Benoît Urgelli ont consacré leur travaux de thèse au traitement de la question des risques climatiques dans les musées de science et à l’école. Cette émission en fait une synthèse de façon très dynamique.
Les modalités de la publicisation de la question climatique dépendent étroitement des scientifiques qui travaillent sur le climat. Inévitablement, c’est la question de l’expertise qui se pose. Qui est expert du climat et qui ne l’est pas ?
Depuis quand parle-t-on du changement climatique ? C’est l’une des questions que pose Jean-Baptiste Comby dans sa thèse pour comprendre comment le changement climatique est devenu un problème public. Rapide historique.