Pris(m)e de tête appréhende les relations entre science, culture et société au prisme des sciences de l'homme et de la société. Ses articles sont édités par des jeunes journalistes et/ou des jeunes chercheurs.
La publication massive de câbles diplomatiques par le site WikiLeaks est un moment d’épreuve pour nos démocraties occidentales. Une transgression tout à fait novatrice qui entraîne des changements radicaux dans la conceptualisation de la « machine » de l’information.
Créé pour faire l’état de l’art des connaissances dans le domaine climatique, le Groupement Intergouvernemental d’experts sur l’Evolution du Climat a été l’objet de toutes les critiques de la part des climatosceptiques (mais pas seulement). Le problème ? En fait il n’y en a pas qu’un seul.
Incontestablement, le futur passe, pour l’Europe, par un développement scientifique et technique toujours plus présent et par une politique d’innovation qui permettra de répondre (à elle seule ?) aux défis sociétaux de demain.
Depuis quand parle-t-on du changement climatique ? C’est l’une des questions que pose Jean-Baptiste Comby dans sa thèse pour comprendre comment le changement climatique est devenu un problème public. Rapide historique.
Les comités d’éthique sont souvent vus que comme une bonne chose alors qu’ils ne constituent pas la seule possibilité pour avancer sur des questions délicates. Ils peuvent servir un processus de choix de société concernant les sciences et les techniques. Tout ce qu’il y a de moins démocratique.