passionné de sciences, presque tous les secteurs avec des préférences pour la physique, l'environnement, la paléontogie, l'archéologie, l'astronomie .. tout en autodidacte ...
Les scientifiques peuvent dorénavant accéder aux données du satellite Cryosat 2 permettant de déterminer avec précision les variations de l'épaisseur des glaces polaires, un indicateur important du réchauffement climatique, selon l'Agence spatiale européenne (Esa).
Une équipe de scientifiques de l’Alaska Science Center de l’US Geological Survey à Anchorage a observé un taux inhabituellement élevé de becs déformés chez certaines espèces d’oiseaux en Alaska...
Découverte surprenante et paradoxale : il y aurait moins d'incendies de forêts aujourd'hui qu'il y a un siècle. Et même que depuis un demi-millénaire...
Une étude publiée le 9 décembre par la direction générale du Trésor évalue les impacts macroéconomiques de la mise en ?oeuvre du Grenelle de l'environnement et conclut qu'à long terme, ces investissements seraient néfastes pour le PIB et l'emploi.
Construite en 40 ans sur une bande de sable entre la mer des Caraïbes et la lagune de Nichupte, la ville de Cancun est une verrue sur le littoral qui ne s’en remettra jamais.
Désertification, inondations, modification des cycles de mousson… Selon les scientifiques du GIEC, les changements climatiques pourraient diminuer les récoltes dans les pays les plus vulnérables de 25 à 50% d’ici 2020.
Le sommet de Cancùn s'est achevé sur un accord modeste mais réel. Un objectif de limitation de température est donné. Les États-Unis, l’Inde et la Chine s’engagent. La dotation d’un « fonds vert » est décidée. Mais la suite du protocole de Kyoto est incertaine et les financements restent flous.
L’étude du césium 137 pourrait apporter une nouvelle preuve sur la réalité du réchauffement climatique. La distribution des radionucléides dans la carotte de sédiment marin près de la péninsule Antarctique semblerait indiquer une augmentation récente du taux de la fonte des glaces.
Il faudrait désormais un cataclysme cosmique pour que 2010 ne se révèle pas l'année la plus chaude dans les relevés des services météo. L'équipe de James Hansen, au Goddard Institute for Space Studies (Nasa) vient en effet de publier l'analyse du mois de novembre...